– Le débarquement et la vente de poissons frais l’après-midi, (à partir de 16h00) et l’ambiance le long de la plage principale au coucher du soleil et à l’aube.
– À côté, les marchands de gâteaux, de « pharatas » et « rotees » et leurs « tricycles ». Qu’ils aient 2, 3 ou 4 roues, ces échoppes s’appellent des « trisik » (tricycles.) Une annonce dans les journaux avait pour titre : « A vendre, tricycle à quatre roues »…
– Ces tricycles font aujourd’hui partie du paysage et du folklore de Grand Baie. Les pâtisseries salées sont toujours savoureuses, plus ou moins épicées. Seuls les habitués pourront vous dire lequel de ces marchands est le meilleur… si même il y a un car il s’agit d’un monopole quasi-familial ; 2 ou 3 des tricycles étant tenus par de différents membres d’une même famille.
– Les fruits avec ou sans sauce pimentée sont probablement une façon plus douce de goûter les spécialités locales.
– The alternatives proposed are the more recent permanent and officially authorised stalls under the trees. Some serve better food than others but they all compose the holiday atmosphere that prevails.
– Face à la mosquée, la chapelle des Saints-Anges-Gardiens. Inaugurée en 1959, elle était alors d’architecture futuriste. M. Jacques Desmarais, s’était inspiré de l’importance de la pêche pour les villageois de Grand-Baie. Elle représenterait une barque tournée vers le ciel. Sous un certain angle et malgré un rajout, elle a gardé son aspect futuriste et « volant. » Tous les vendredis elle partage volontiers son site de choix sur la mer en offrant ses espaces de parkings aux fidèles de la mosquée d’en face.
– Le temple Tamoul est ouvert aux visiteurs durant presque toute la journée, c’est sur un autre monde, quasi-irréel, que s’ouvre la porte. Initialement construit en tôle dans les années cinquante, la version en dur est souvent réaménagée et restaurée annuellement.
Selon le gardien, ces travaux sont si précis qu’ils ne peuvent être réalisés que par des travailleurs indiens. Une équipe spécialisée de peintres et de nettoyeurs est donc envoyée par avion à Maurice chaque année pour repeindre, nettoyer et réparer les centaines de statues, moulures et ornements en 3D sculptés et encastrés dans le béton.